Sorties livres, semaine du 21 août 2021

Une sélection placée sous le signe du voyage et des valeurs sûres !

« L’or noir des steppes », Sylvain Tesson (@jailu_editions) : récit de voyage, mer Caspienne, énergies, enjeux géopolitiques, pipelines

Après la chute de l’URSS, d’importantes réserves de gaz et de pétrole ont été découvertes dans le Nord caspien et dans le fond asséché de la mer d’Aral. Alors que la consommation mondiale ne cesse d’augmenter, que les ressources décroissent et que le Moyen-Orient paraît de plus en plus instable, la Caspienne, jusque-là délaissée, revêt le visage d’un nouvel Eldorado et se trouve au coeur des enjeux énergétiques.
Du sud de l’Aral à la Turquie orientale, Sylvain Tesson a suivi, à pied et à vélo, ce nouveau réseau de pipelines : le road-movie de l’or noir des steppes.

« La conspiration de l’ombre », Steve Berry (@cherchemidiediteur) : thriller, Cotton Malone, seconde guerre mondiale, conspiration, énigmes historiques

Après Les Saintes Reliques, le retour de Cotton Malone sur les traces des secrets nazis. Strasbourg, août 1944 : Martin Borman, conseiller spécial d’Hitler, réunit les plus grands industriels et financiers allemands. La guerre est perdue pour les nazis, il est urgent d’organiser la fuite et la dissimulation des capitaux avant que ceux-ci ne tombent dans les mains des Alliés. Berlin, 30 avril 1945 : enfermés dans le bunker depuis dix jours, Adolf Hitler et Eva Braun se donnent la mort.
Biélorussie, 2021 : Cotton Malone entre en possession d’un dossier confidentiel au contenu explosif, issu des services secrets soviétiques. Si les informations qu’il contient sont avérées, c’est toute l’histoire de l’Europe depuis 1945 qu’il faut réécrire. Que s’est-il vraiment passé dans le bunker le 30 avril 1945 ? Adolph Hitler et Eva Braun y ont-ils bien trouvé la mort ? Et qu’est devenu Martin Borman, dont le cadavre n’a jamais été formellement identifié ? Autant de questions auxquelles Cotton, sur les traces de l’or nazi, va devoir répondre au péril de sa vie.
Avec cette nouvelle aventure de Cotton Malone aux rebondissements incessants, Steve Berry nous emmène du Chili à la Suisse en passant par l’Afrique du Sud, et pose des questions troublantes qui vont ravir les amateurs de conspirations et d’énigmes historiques.

« Les lapins de la couronne, Bons baisers de Sibérie », Santa Montefiore, Simon Sebag Montefiore (@little.urban) : roman jeunesse, lapins, espionnage, agents secrets, vol d’un diamant

Le plus gros et le plus beau diamant du monde a été dérobé au palais de Buckingham ! Timmy et les courageux Lapins de la Couronne sont déjà sur l’affaire. Mais ils ne sont pas les seuls : des agents russes pourraient bien perturber la mission.

Une autre histoire de la littérature française, Jean d’Ormesson (@editions_pocket) : essai, anthologie, plaisir de lire, courants littéraires, (re)lire les classiques

«J’aime les livres. Tout ce qui touche la littérature – ses acteurs, ses héros, ses partisans, ses adversaires, ses querelles, ses passions – me fait battre le cœur. Le triomphe du Cid m’enchante. La « petite société » autour de Chateaubriand et de cette raseuse de Mme de Staël m’amuse à la folie. La mort de Lucien de Rubempré me concerne autant que Wilde ou le baron de Charlus. Et, j’aime mieux le dire tout de suite, Proust me fait beaucoup rire. En un temps où les livres sont contestés et menacés par la montée de quelque chose d’obscur qui ressemble à la barbarie, cette histoire de la littérature n’a d’autre ambition que d’inviter le lecteur à en savoir un peu plus sur les œuvres passées ici en revue. Si elle donne à quelques gens d’aujourd’hui l’envie d’ouvrir un roman de Stendhal ou de Queneau ou de découvrir un poème d’Aragon, l’auteur aura atteint son but. Il aura largement été payé de son temps et de sa peine qui fut aussi un plaisir.» Jean d’Ormesson.

« Tu m’avais dit Ouessant » Gwenaëlle Abolivier (@editions_pocket) : résidence, phare d’Ouessant, voyage immobile, immersion, isolement

À l’hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore de l’île d’Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. Là, sous le grand phare du Créac’h, se racontent un voyage immobile et une expérience d’immersion au contact des éléments et des îliens. Elle explore les lieux et rencontre les gardiens de phare, les guetteurs-sémaphoriques, les derniers marins de commerce, et les femmes, gardiennes des lieux, qui occupent une place prépondérante sur cette île du Ponant. Ce territoire de l’extrême est à part, il entretient un rapport particulier avec la mort. Face à la mer, au contact de la nature ravagée, l’auteur vit cette expérience comme une renaissance…

Ils vous tentent ? Moi, je suis un fidèle de Steve Berry 😊. Je vous avais déjà dit tout le bien que je pensais du premier tome des lapins de la couronne, celui ci me tentent bien aussi ! Et Ouessant est une île qui me fait rêver donc je lirais bien le récit de Gwenaëlle Abolivier !

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