« Ceux qu’on sauve », Peter Swanson 

Suite directe de « Ceux qu’on tue », « Ceux qu’on sauve » se trouve dans sa pure lignée. Peter Swanson nous propose un thriller psychologique avec des énigmes à tiroir et des histoires qui s’entrecroisent dans le temps. L’ensemble est très fluide et agréable à lire. Manipulations, machiavélisme, rebondissements, tous les ingrédients sont là pour vous faire passer un très bon moment de lecture cet été !
 
Quatrième de couverture :

Harry Kimball, ancien flic devenu détective privé, est engagé par Joan pour surveiller son mari, qu’elle soupçonne d’infidélité. Mais il ne la sent pas, cette affaire. Joan a toujours eu un je-ne-sais-quoi d’inquiétant. Elle lui rappelle un événement tragique survenu dans une vie antérieure. Aux abois financièrement, Kimball est contraint d’accepter. Mais son instinct ne l’a pas trompé. Ce qui a commencé comme une simple enquête de routine change brusquement d’ampleur lorsqu’il découvre deux cadavres au beau milieu d’une maison à vendre. Les traumatismes refont surface et Kimball se demande si Joan n’est pas liée, d’une manière ou d’une autre, au douloureux épisode qui a changé sa vie. Décidé à tirer cette affaire au clair, Henry n’a d’autre choix que de s’allier à sa Némésis, Lily Kintner. Plus il s’approche de la vérité, et plus la mort rôde autour de lui. Les dés sont jetés, un seul d’entre eux pourra survivre. Mais lequel ?

« Ceux qu’on sauve », Peter Swanson, Gallmeister, 432 pages.
 

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