« Les Willoughby », Lois Lowry

« Les Willoughby », Lois Lowry, couverture du livre, mangeurdelivres.wordpress.com

Rien de tel que d’aller flâner en librairie sans titre particulier en tête à acheter. Se laisser porter par les couvertures ou les sélections des libraires. En allant à la (superbe) @librairie_delamain_paris pour en rapporter quelques photos, je me suis laissé tenter par les Willoughby grâce au coup de cœur des librairies qui était épinglé dessus. 
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Les Willoughby sont 4 enfants, l’aimé Tim, les jumeaux Barnaby A et B et Jane. Tim, en tyran, impose aux autres ses jeux compliqués dans lesquels c’est toujours lui gagne et tous les 4 vivent une vie bien triste avec des parents qui ne les aiment pas, espérant devenir orphelins ! Qu’à cela ne tienne car leurs parents indignes décident de les abandonner eux bons soins d’une nounou pour partir en voyage. Ils vont même jusqu’à mettre en vente la maison. C’est le début d’une série d’aventures totalement délirantes pour toute la famille. 
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Hasard des choix de livres (qui suivent une logique assez obscure, peut être que je vous en parlerai un jour), j’ai lu « Les Willoughby » peu de temps après James et la grosse pêche de Roald Dahl, Et je dois dire que j’ai retrouvé un certain nombre de points communs entre les deux, tant au niveau de l’intrigue que du style d’écriture. L’histoire est complètement décalée, sorte de pastiches de romans « vieux jeu » du 19ème siècle (qui sont d’ailleurs présentés et commentés en bibliographie) avec son lot de pauvres orphelins et son sens de l’absurde poussé à son paroxysme. Mais je suis resté un peu sur ma faim. Le livre est clairement loufoque, déjanté et totalement improbable par moments. Il se lit très bien et on ne pas dire qu’on passe un mauvais moment. Peut-être que c’est moi qui en attendais trop après avoir lu Roald Dahl mais j’ai eu le sentiment qu’il manquait quelque chose, sans trop arriver à définir quoi. 

Un livre totalement déjanté, qui ne se prend pas une seconde au sérieux. 

Vous avez aimé ? Il est temps de (re)découvrir la magie de Rolad Dahl, et notamment « James et la grosse pêche », dont je parlerai surement ici dans les prochaines semaines !

« Les Willoughby », Lois Lowry, L’école des loisirs, 208 pages.

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