« Les mangeurs de nuit », Marie Charrel

Partez pour un voyage envoutant au cœur de des forêts canadiennes pour découvrir l’histoire des immigrés japonais du début du vingtième siècle. Un livre absolument magnifique, déjà primé et qui ne devrait pas s’arrêter là ! C’est d’ailleurs mon chouchou pour le prix Orange du livre 2023!

Quatrième de couverture :

Hannah est une Nisei, une fille d’immigrés japonais. Si son père l’a bercée de contes nippons, elle se sent avant tout canadienne ; alors pourquoi les autres enfants la traitent-ils de « sale jaune » ? Jack, lui, est un creekwalker, il veille sur la forêt et se réfugie dans les légendes autochtones depuis le départ de son frère à la guerre. Le jour où l’ermite tombe nez à nez avec un ours blanc au coeur de la Colombie-Britannique, il croit rêver — la créature n’existe que dans les mythes anciens.
Pourtant, la jeune femme inconsciente qu’il recueille semble prouver le contraire : marquée des griffes de la bête, Hannah développe d’étranges dons à son réveil. Des années 1920 à l’après-guerre, Marie Charrel brosse le portrait d’une Amérique du Nord où la magie sylvestre s’enchevêtre à la fresque historique. Contes japonais et légendes indigènes se lient dans une fabuleuse ode à la nature et à la fraternité.

« Les mangeurs de nuit », Marie Charrel, Éditions de L’Observatoire, 295 pages.

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